CSC METEA HAINAUT

Je vous invite à lire attentivement ce qui suit.

Cela devrait vous permettre de répondre aux critiques dans les entreprises.

Et quand les délégués FGTB parleront d'action, demandez- leur si ils seront réellement sur le terrain ou chez eux, dans leur lit ou leur jardin !?!

Aucune mobilisation de nos militants Metea et de nos affiliés n'aura lieu.

Il faurt rester cohérents.

La CSC l'est.

L'AIP a été accepté par les instances de la CSC y compris par celles de Metea.

il est donc hors de question de revenir sur cette acceptation et maintenant manifester.

Notez bien que la FGTB a signé toutes les CCT du Conseil National du Travail et qu'elle est autour de la table de négociation actuellement avec la CSC pour les salaires minimum..

Comment peut-on d'un côté dire je négocie comme partenaire responsablee et d'un autre côté faire des actions pour contester ce qu'on est en train de négocier...

à moins que...à deux semaines des élections régionales et fédérales et européennes...un petit coup de pouce au PS ou au PTB soit jugé comme utile....

Mais pourquoi toujours prendre les travailleurs en otage ou pire encore pourquoi les considérer comme des moutons que quelques chiens de berger conduisent là où on leur dit !!!!!!!

A vous de vous faire votre opinion...

Voici le tract de la CSC disponible au bureau.

Pourquoi la CSC ne participe-t-elle pas à la journée de grève du 14 mai, annoncée par la FGTB ?

Pour la CSC, ce sont les résultats qui priment, pas la confrontation.

Parce que nous avons obtenu une première augmentation du salaire minimum grâce à l’accord interprofessionnel (AIP) et parce qu’en ce moment même, nous négocions déjà une deuxième augmentation, toujours dans le cadre de cet AIP. En approuvant l’AIP, nous avons pris nos responsabilités.

La CSC se bat pour des résultats concrets.

Une convention collective de travail nationale (CCT) est sur la table pour augmenter le salaire minimum de 1,1% le 1er juillet, comme convenu dans l’AIP.

La CSC continuera ses démarches pour avancer vers toujours plus de progrès social. Nous insisterons donc pour que cette CCT soit signée.

Il serait incompréhensible que les syndicats renoncent à cette amélioration.

Les employeurs s’en féliciteraient.

Le 29 avril, les négociations en vue d’une deuxième augmentation du salaire minimum ont commencé avec les employeurs.

Ces négociations doivent pouvoir se dérouler dans le calme.

En effet, la situation est particulièrement complexe.

Nous ne voulons pas que cette augmentation soit annulée fiscalement et nous voulons des solutions pour les secteurs où les possibilités économiques d’une augmentation sont plus limitées.

La grève est un moyen d’action et non une fin en soi.

La CSC veut des résultats et l’aboutissement des négociations.

Par la concertation aussi longtemps que possible et seulement via une action si nécessaire.

Parce que la mise en oeuvre de l’AIP et les négociations salariales doivent pouvoir se poursuivre dans les secteurs et les entreprises dans les meilleures conditions possibles.

Une journée de grève trouble la paix sociale. Nous plaidons en faveur de négociations constructives qui débouchent sur de bonnes solutions pour tous.

C’est précisément la raison pour laquelle nous avons approuvé l’AIP.

Nous communiquons de façon transparente et claire sur cette question.

Parce qu’un AIP approuvé constitue une base solide pour poursuivre les négociations.

La CSC a approuvé l’AIP.

Ce faisant, d’importantes CCT ont été signées au Conseil National du Travail (CNT) le 23 avril, parallèlement à une série d’augmentations des allocations sociales, y compris pour les travailleurs.

Ce n’aurait pas été possible sans un AIP.